DON’T PANIC…

Lorsqu’on sait que la réponse à la «grande question concernant la vie, l’univers et le reste» est 42. On ne peut qu’avoir un pincement au cÅ“ur en apprenant la venue du film «The Hitchhiker’s Guide to the Galaxy » le 29 avril 2005.

C’est un classique de la littérature absurde ( et de la science-fiction) que j’ai vraiment hâte de voir en film.

En souvenir du bacc en physique…

Un repère culturel né de ce livre est le «Babel Fish d’altavista». Le nom est directement tiré de ce livre. Si je me souviens bien dans le tome 1 de la trilogie en 5 tomes…

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La planification d’un cycle d’apprentissage

Comme je me plais à le dire : «L’enseignement est une improvisation bien planifiée». Ça veut dire qu’une enseignante ou un enseignant doit se laisser une bonne marge de manÅ“uvre s’adapter à la réalité du moment.

Dans leur préparation à la venue du cours de science et technologie l’an prochain, les enseignantes et enseignants de la CSBE ont débuté, par équipe école, la planification du cycle.
Ma perception de ces derniers est qu’ils maîtrisent bien l’esprit du développement des compétences de science et technologie, sans toute fois en connaître les libellés par cÅ“ur. Ils connaissent aussi les concepts généraux qui serviront de substrat au développement des compétences.
La planification débute par la distribution des contenus. Est-ce correct ou non? Je ne le sais pas. Mais je crois que c’est sécurisant pour les enseignantes en enseignants. C’était la chose la plus facile à faire. On se donne seulement des points de repère, en sachant très bien qu’une situation doit mettre en relation les différents Univers. Ce qui aura pour effet de retarder ou de devancer certains élément. On se trace cependant un plan de match. C’est une planification dynamique, elle évoluera au rythme des situations. Les contenus sont prescriptifs, ils doivent donc tous être abordés. Les situations doivent aussi développer l’ensemble des compétences. On se donne donc un outils pour donner vérifier ce qu’on fait.

Cependant, ce n’est suffisant. C’est le développement des compétences que nous visons en premier lieu. C’est donc ce qui doit être planifier prioritairement. Néanmoins, ce n’est pas facile à faire lorsqu’on a aucune expérience dans ce type d’enseignement.

Comment peut-on classer des tâches selon la progression de la compétence?

La progression de la compétence peut être marquée par;
-La complexité de la tâche
-La «difficulté» de la tâche (pas nécessairement plus complexe, mais plutôt, plus compliqué, plus de paramètres à prendre en compte.
-Le degré d’autonomie de l’élève dans la tâche.

De façon à aider les enseignants à se faire une idée sur la complexité des éléments formant les compétences de science et technologie, je me suis amuser à classer ces éléments selon la taxonomie de Blooms. Je ne suis pas certain que ce soit une bonne idée. Je ne veux pas qu’on décontextualise. Cependant, je crois que ça peut aider les enseignants à ce faire une idée des stratégies qui sont accessibles au début du cycle et celle qui ne seront maîtrisées qu’à la fin. C’est ici. Ce n’est qu’un début, j’y retravaillerai.

Je vais présenter cette piste le 15 avril. Est-ce une bonne idée? Comment l’améliorer?

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Questions et réponses sur la Réforme…

Mario nous livre, aujourd’hui, premier avril 2005 (ce n’est pas un poisson) la première version du document «La réforme pour les nuls».

Il s’agitd’une conconstruction, utilisant les possibilités d’un wiki. Le résultat est de grande qualité. Félicitations aux auteurs.

Comme le dit Pierre, À lire, à distribuer, à commenter, à continuer

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MELS ou MEQ

Nous devons en faire notre deuil, le Ministère de l’Éducation du Québec n’est plus. Il a été remplacé par le Ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport. Cette nouvelle a fait réagir bien des gens. Pour moi aussi, il me semble que, que dans une société valorisant l’éducation, un ministre en a bien assez avec l’éducation sans avoir à prendre en charge le loisir et le sport. (Dans les faits, si on va voir sur le site, c’est le loisir et le sport qui sont dilués, voir même inexistants)

Lors d’une rencontre, j’ai cependant été dérangé par certains commentaires laissant entendre que ce serait un moindre mal d’être associé avec la Culture. Les commentaires laissaient entendre que le loisir et le sport, ce n’était que de se promener avec un panache d’orignal et un fusil dans les bras, avec un manteau à carreaux, et des grosses bottes sales. À ce moment, je n’arrivais pas à verbaliser le malaise que je ressentais, et j’ai gardé le silence. Maintenant, je peux mettre des mots dessus.

Premièrement, lorsqu’on vit dans une société où l’obésité, notament chez les jeunes, est en forte croissance, où l’activité physique est en chute libre, peut-on vraiment dénigrer le loisir et le sport? Dans cette situation, le fait de coller Éducation, Loisir et Sport me semble très logique et cohérent!
Le chasseur en manteau à carreaux avec ses bottes sales n’est peut-être pas représentatif du loisir et du sport. (Il ne faudrait pas oublier que ça fait pas des siècles que la chasse est devenue un loisir, elle a déjà été une question de survie.) Des gens en santé, auraient sans doute eu comme première idée en pensant «Loisir et Sport» de penser au plein-air, aux exploits olympiens, aux gens qui ont grimpé l’Everest ou atteint le Pôle Nord à pied. La percpetion ça dépend beaucoup de notre culture.

La Culture, c’est bien beau, mais lorsqu’on pense «Culture» la première vitrine c’est la télévision et la radio. On pense donc à Piment fort (il y a quelques années), à Occupation double, à Loft story, à Star Académie, à KM/H, à Peter McCloud, au violent style musical hip-hop et… à Jeff Fillion. Ce qui ne me semble pas toujours très «éducatif». La première idée qu’on a n’est pas toujours les classiques du théâtre ou les grands concerts. La percpetion de la Culture ça dépend beaucoup de notre culture.

Je n’ai rien contre la culture et je n’ai rien pour le loisir et sport en particulier. Je crois que ces deux domaines, lorsqu’on les regarde avec un oeil constructif auraient de quoi enrichir le monde de l’éducation. Il faut cependant dépasser les idées préconçues.

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Compétence et métacognition… il faut faire la part des choses!

Voici quelques définitions de ce qu’est une compétence:

« Un savoir-agir fondé sur la mobilisation et l’utilisation efficace d’un ensemble de ressources. »

Ministère de l’Éducation du Québec, Programme

de formation de l’école québécoise, Enseignement secondaire, premier cycle, chapitre 1, 2003, p9

« La compétence est entendue comme la capacité à réaliser des activités ou des tâches en utilisant des ressources variées : connaissance, habiletés, stratégie, techniques, attitudes, perceptions. »

Ministère de l’Éducation du Québec, Politique d’évaluation des apprentissages, 2003, p.

Une compétence est la « capacité de mobiliser un ensemble de ressources (internes et externes) en vue de traiter un ensemble de situations complexes. »

Scallon, G. Session de formation de personnes ressources du MEQ mars 2004

On remarque que, dans ces définitions, on ne parle jamais de réflexion, de métacognition, de regard réflexif, de prise de conscience, d’introspection… Une compétence est tout d’abord un savoir-agir.

Je ne veux pas dénigrer la métacognition. C’est un processus important pour l’apprentissage, et par le passé, on a trop peu amener les élèves à développer des stratégies métacognitives. Cependant, certains formateurs laissent entendre que le PFEQ n’est que de la métacognition. Il faut amener l’élève à prendre conscience de tous les processus qu’il a utilisés pour effectuer l’apprentissage. Un élève compétent est celui qui prend conscience de ses stratégies d’apprentissage. Le développement d’une compétence, c’est tout d’abord une prise de conscience…

Il faudrait peut-être faire la part des choses. Certains élèves ont développés des mécanismes internes qu’il ne sont pas capable de nommer mais qui sont très efficaces pour « Écrire des texte variés». Ces élèves sont très compétents sans avoir passé par un processus métacognitif. De plus, ça serait, selon moi, une erreur de les amener à les décrire, on risque de les mêler.

Trop peu dans le passé, il faudrait faire attention pour ne pas tomber dans le «trop beaucoup» dans le futur.

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La réforme pour les nuls…

Quelles idée intéressante de Mario ici. Une coconstruction à laquelle je me promets de participer. C’est ici que ça se passe.

Je trouve cependant le titre un peu péjoratif, lorsque l’idée est d’informer les non-spécialistes, notamment les parents.

À suivre.

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Les rôles «Réformes» de l’enseignants

Je me cherchais une façon courte pour décrire les rôles d’un enseignant dans la Réforme. Madame Nicole Tardif nous en a suggéré quatre qui résument très bien ma pensée.

1. L’enseignant doit tout d’abord être un « coach».
2. L’enseignant doit aussi être un «expert crédible».
3. L’enseignant doit être un «apprenant enthousiate».
4. L’enseignant doit être un «constructeur d’environnements d’apprentissages efficace».

Ces quatre expressions font images pour moi.

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Les outils de communication du CP…

Bonjour à toutes et tous,

Suite à nos conversations du 18 février, je me suis mieux organisé pour vous transférer les différentes informations et faciliter notre travail d’équipe. Les outils utilisés seront basés sur l’utilisation des TICS (le territoire de la CSBE est tellement grand!) .Voici les 4 lieux virtuels qui nous serviront.

1. Le site de la science et de la technologie de la CSBE.

Ça fait depuis l’an passé que je repousse le temps de sa mise à jour. Voici qui est fait. Vous y retrouverez les documents et informations pouvant être utiles et étant du ressort de la CSBE. Vous pourrez y télécharger la grille d’aide à la macroplanification distribuée le 18 février.

J’y ai aussi mis les liens les autres outils que j’utilise.

2. Le wikinier

Il s’agit ici d’un lieu de coconstruction. J’y ai débuté l’ordre du jour du 15 avril, je vous invite à y apporter vos suggestions. (Inscrivez-vous en utilisant le lien «ParamètreUtilisateur »(en haut à droite). Atteignez la page à modifier et cliquez sur le lien «Éditer cette page» (au bas de la page)

J’y ai aussi écrit les critères d’évaluation du matériel pédagogique. Je vous invite à vérifier si c’est conforme à nos discussions et à les modifier au besoin.

3.Mes signets publics

Ici vous trouverez mes signets, ou favoris. Ils sont classés par sujet.

4. « Le Bric-à-brac d’un CP en Beauce » ou si vous préférez, mon cybercarnet personnel professionnel.

Vous y trouverez ici mes différentes réflexions, mes commentaires, mes notes sur différents sujets. Vous pouvez participer la réflexion en commentant les différents articles.

Naturellement, le courriel continue d’être un outil de communication qui sera utilisé.

Amusez-vous bien!

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Ajout d’une catégorie…

Après quelques semaines de silence et de combat contre le SPAM, j’ai fait le point sur les possibilités que peut offrir ce type d’outil. Je lui ajoute donc une fonction.
Ce carnet servira aussi maintenant à informer et communiquer avec les enseignantes et enseignants de science et technologie de la CSBE. Cet outil a un caractère particulier: il est un peu un journal personnel professionnel laissant une plus grande latitude que le site corporatif de la CSBE.
J’y ajoute donc une nouvelle catégorie: Pour les enseignants de science et technologie... On verra avec le temps si cela donnera le résultat voulu.

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À propros de la pédagogie de projet et de la Réforme…

J’aime bien la Réponse des universitaires aux uniersitaires comme le dit Clément. La conclusion me fait sourire

«En conclusion

Il y aurait bien d’autres remarques à faire sur cette drôle de revue de littérature et sur l’article qui s’en inspire. Ainsi en est-il de l’amalgame entre la pédagogie du projet et la pédagogie de la redécouverte. À peu près personne ne soutient qu’on peut redécouvrir les savoirs comme s’ils tombaient sous le sens, et tel n’est pas l’esprit de la pédagogie du projet.

Ce que permet cette pédagogie, c’est d’apprendre non pas à reconduire bêtement les savoirs standardisés mais bien à les utiliser, à en tirer parti et à trouver ainsi, comme le disait si bien Michel de Certeau, «un espace de jeu et d’existence». C’est bien sûr un choix sociopolitique, mais la préférence des auteurs pour un retour à l’enseignement «explicite», dispensé par des enseignants «à valeur ajoutée», ne l’est pas moins. […]»

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